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dc.contributor.authorWhittaker, Sunniva
dc.date.accessioned2016-06-30T07:54:51Z
dc.date.available2016-06-30T07:54:51Z
dc.date.issued2004
dc.identifier.citationSYNAPS - A Journal of Professional Communication 14(2004) pp.45-62nb_NO
dc.identifier.issn1893-0506
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/11250/2394865
dc.descriptionThis article is in French.nb_NO
dc.description.abstractLes démonstratifs français ont fait l’objet de nombreuses études visant à rendre compte de leur spécificité tant au niveau de leur mode de donation référentielle qu’au niveau des effets discursifs qu’ils sont susceptibles de déclencher (Reichler-Béguelin 1995, Veland 1996, Gary Prieur/Léonard 1998, Corblin 1998, De Mulder 2000). Les démonstratifs norvégiens n’ont pas joui du même sort. En effet, leur description dans les grammaires présente de nombreuses lacunes, notamment en ce qui concerne le rapport entre les différentes formes morphologiques. (cf. Norsk Referanse Grammatikk, 1997). Le présent travail n’a aucunement pour ambition de fournir une description exhaustive des démonstratifs norvégiens. Son objectif est nettement plus limité : en partant d’une comparaison des formes des démonstratifs français et norvégiens, je me propose de cerner les problèmes potentiels que pose la traduction en norvégien des démonstratifs français. Je m’intéresserai en premier lieu à l’emploi anaphorique, celui-ci étant de loin le plus fréquent dans les textes écrits. L’étude portera aussi bien sur les pronoms que sur les articles démonstratifs, car on retrouve, en grande partie, les mêmes différences entre les formes françaises et norvégiennes dans ces deux classes de mots. Les défis que posent les pronoms et les articles aux traducteurs sont cependant d’ordre différent. Pour ce qui est du pronom démonstratif, la principale difficulté est liée aux lacunes du paradigme norvégien. Le norvégien ne dispose pas, par exemple, d’un pronom démonstratif distal “mentionnel” (Corblin, 1998). Quant aux syntagmes nominaux introduits par un article démonstratif, le problème le plus épineux semble être la traduction de certains types d’anaphores infidèles.nb_NO
dc.language.isofrenb_NO
dc.publisherNHHnb_NO
dc.titlePronoms et articles démonstratifs : traduction de la reprise anaphorique en norvégiennb_NO
dc.typeJournal articlenb_NO
dc.source.pagenumber45-62nb_NO
dc.source.volume14nb_NO
dc.source.journalSYNAPS - A Journal of Professional Communicationnb_NO


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